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Les infos chaudes Bouillantes

L’effacement de la cravate : des conséquences de la tête aux pieds

La cravate disparait, c’est un fait. Incontestable. Au restaurant, elle s’efface au profit d’une simple chemise, d’un petit polo chic ou d’un modeste t-shirt plus ou moins bien taillé. Le tout sera parfois surmonté d’une veste qui lissera les différences, mais encore, ce n’est pas certain. Venez comme vous êtes semble être un slogan partagé par tous les acteurs de la restauration. Mais l’effacement de ce signe distinctif n’est pas sans emporter de multiples conséquences au sein du restaurant, de la tête au pied.

Cravate : l’étoffe symbolique

La cravate ne constitue plus vraiment un sujet au restaurant. Elle n’est plus obligatoire nulle part, contrairement à la veste, encore exigée dans quelques cénacles gastronomiques en léger décalage avec leur époque. Ce petit bout de tissu, solidement arrimé au cou avec son noeud coulant, voit son empire d’usage de plus en plus réduit, tandis que sa puissance symbolique reste forte. À travers ce simple bout d’étoffe, le restaurant démontre qu’il reste un fidèle reflet de notre société et de ses moeurs.

Demain, le restaurant sans téléphone portable ?

Alors que pointe des envies toujours plus fortes de « digital detox », le restaurant semble avoir lâché toute réflexion sur l’omniprésence désastreuse du téléphone à table. Alors que de nombreux chefs regrettent son utilisation régulière et néfaste pour la bonne appréciation des plats, n’est-il pas temps de repenser la place du téléphone à table et d’agir collectivement pour en limiter l’usage ?

 Bocuse d’Or : farce sponsorisée 

Cooptation, entre-soi, petits arrangements et recettes sponsorisées, le Bocuse d’Or est devenu au fil des éditions la Fête à neuneu de la grande bouffe. Les organisateurs s’en cachent de moins en moins, mais les critiques ouvertes peinent à sortir.

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Tatouage(s) : cuisine et dépendances

Qu’on se le dise : le tatouage est devenu un avantage compétitif dans le monde des cuisines. Omniprésent, il s’impose non pas comme une mode mais en véritable phénomène culturel. Cette semaine, Bouillant(e)s a réalisé un important dossier sur ce phénomène qui touche tout le monde ou presque, partout dans le monde. Du coq tatoué de Paul Bocuse en passant par les bancs de l’école, la sociologie et la psychologie, les étoiles Michelin gravés à même la peau, les témoignages de chefs et le recrutement, le tatouage se dévoile en grand format. 

Agence(s) de communication et attachée(s) de presse : (r)évolution en marche

Une presse déclinante, des réseaux sociaux qui explosent, des influenceurs qui débarquent de nulle part, et un thème, celui de la gastronomie, qui se répand comme une trainée de poudre, partout où il y a de l’image, du son ou du texte. Dans un tel contexte, la communication gourmande se mue en art. Ça tombe bien, les agences de communication et les attaché(e)s de presse spécialisés sont là pour orchestrer un bal aussi riche que complexe. En quelques années, le métier a profondément changé. Simple évolution ou vraie révolution ?