L’été rime avec rosé. Au bord de la piscine ou à table, il épanche sans rougir toutes les soifs. Mais s’il coule à flot sous le soleil, il ne tombe plus à pic dès les premiers frimas. Sa désaisonnalisation, mais également sa premiumisation, font du rosé une boisson tout terrain de janvier à décembre. Entretien avec Hugues Forget, chef de cave de la Grande Epicerie, qui détaille cette tendance.
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