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Mondialisation, politisation et fric : comprendre pourquoi les événements ‘food’ se multiplient encore et toujours

Il faudrait s’amuser à compter les chefs qui n’ont pas gagné un prix, un concours, un truc qui fait “récompense”. Pour paraphraser Jacques Séguéla et sa Rolex à 50 balais, il y a de quoi se demander si un chef qui n’a pas gagné la moindre distinction à 50 ans n’a pas raté sa vie de cuisinier. Reste à savoir pourquoi un tel phénomène de prolifération perdure, voire s’accentue au fil des années. Au coeur du phénomène : mondialisation, politisation et financiarisation.

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