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Amaretto et limoncello : le défi de la haute qualité

Co-fondateur de la société Bellaventura, Thomas Benoît est à l’origine de deux marques de liqueurs : l’amaretto Adriatico, et le limoncello Mamma Mia. Il nous explique en quoi l’avenir est à la premiumisation et comment de nouveaux modes de consommation porte cette dynamique.

Quand le vin rosé prend de la bouteille et du galon

L’été rime avec rosé. Au bord de la piscine ou à table, il épanche sans rougir toutes les soifs. Mais s’il coule à flot sous le soleil, il ne tombe plus à pic dès les premiers frimas. Sa désaisonnalisation, mais également sa premiumisation, font du rosé une boisson tout terrain de janvier à décembre. Entretien avec Hugues Forget, chef de cave de la Grande Epicerie, qui détaille cette tendance.

Carte d’été des cocktails : et on boit quoi chez Amaro ?

Quelles sont les recettes pour adapter sa carte des cocktails à la saison estivale ? Julie Martin et Maxime Turzo, du bar dédié aux apéritifs italiens Amaro (Paris, 9e arr.), nous font part de leur expérience. Julie, qui officie également chaque année au Bar des Innovations du salon Cocktails Spirits nous fait profiter de son analyse sur le dynamisme de certaines catégories.

Highball, mizuwari, tonic… : l’été, tu te rallonges !

L’été, il faut… s’allonger. Cela est on ne peut plus vrai pour l’espèce humaine qui n’aime rien tant que lézarder ; cela l’est tout autant pour quelques spiritueux qui ne perdent rien à se voir rallonger. Le feu de l’alcool juste éteint, ne restent que leurs saveurs délicates et fruitées. L’apparente simplicité du procédé n’exclut donc pas une certaine sophistication.

Spritz, Aperol, Grand Marnier, Picon : gros plan sur la stratégie du groupe italien Campari à la conquête des marchés

Sa couleur orange pétante a depuis longtemps envahi les verres et conquis les coeurs. Cet été, le spritz fait encore fureur. La marque Campari n’y est pas pour rien et continue de surfer sur cette réussite pour mettre en avant non seulement l’Aperol, mais également sa boisson éponyme, le Campari. Pour Bouillant(e)s, Stéphane Cronier, directeur marketing de Campari France nous détaille la stratégie élaborée, les résultats obtenus et la politique d’acquisition du groupe.

Le saké au restaurant : quelle présence ?

Dans ses Mythologies, Roland Barthes notait qu’en France, l’absence de vin à table « choque comme un exotisme ». Dès lors, quelle place accorder au saké au restaurant ? Faut-il avoir une offre complète ? Quelle séquence du repas privilégier, pour quels accords ? Comment interagir avec les clients ? Les sommeliers Jean-Baptiste Bosc (Ledoyen), Philippe Jamesse (DNA Champagne & Wine), Xavier Thuizat (Hôtel de Crillon) et Christian Vermorel (Maison Troisgros) livrent quelques conseils et expliquent pourquoi, loin de se concurrencer, vin et saké se complètent harmonieusement.

L’élaboration du saké : les huit étapes détaillées

À l’intérieur du sakakura ou kura (cellier ou entrepôt), le saké, réalisé selon la méthode traditionnelle, nécessite un travail de longue haleine, réalisé sous le contrôle du toji (maître brasseur ou de chai). Présentation détaillée des huit étapes clés pour l’élaboration du saké.

Saké : les ingrédients du succès

Traditionnellement, on lit que le saké est produit à partir de trois ingrédients : le riz, l’eau et le koji-kin. Il convient pourtant d’ajouter les levures qui jouent un rôle clé sur les saveurs.

Sakés : présentation d’une famille très plurielle

Le saké ? Non, plutôt les sakés, tant il en existe de typologies : degré de polissage des grains de riz, ajout d’alcool ou non, filtré ou non pasteurisé, tranquille ou pétillant… Plongée dans la diversité des sakés.