Authenticité, convivialité, accessibilité… Pourquoi le comptoir n’a jamais été aussi tendance
Tant pis s’il est à l’antithèse de la distanciation sociale, tant mieux si le comptoir se prête à toutes nos envies modernes. Du sandwich et café vite avalés jusqu’au repas étoilé bon chic bon genre, ce bout de zinc partagé et haut perché incarne toutes les valeurs de notre époque : authenticité, accessibilité, pluralité… Décryptage d’une tendance toujours bouillante.
Ce que Jonathan Nossiter a écrit sur l’Atelier Robuchon et le Comptoir de l’Odéon
En 2007, le réalisateur, cinéaste, écrivain et sommelier Jonathan Nossiter rédige un livre intitulé “Le Goût et le pouvoir” dans lequel il relate, de façon tout à fait subjective, ses expériences culinaires et vineuses en France. Sur les 21 chapitres de son livre, il en consacre un à l’Atelier Robuchon et un autre au Comptoir de l’Odéon d’Yves Camdeborde. La puissance de sa critique est à la hauteur de ses expériences ratées.
Le comptoir au restaurant : « Un acte de naissance incertain »
De quand datent les premiers comptoirs au restaurant ? Une réponse difficile, pour ne pas dire impossible. Bouillant(e)s a demandé à l’historien spécialiste de gastronomie Patrick Rambourg de remonter à l’origine du comptoir.
Être bourré(e), mais mieux dit !
Ce n’est pas parce que l’on est accoudé au comptoir que la sémantique doit s’absenter du débat. Les Français n’ont pas lésiné sur les vocables pour définir l’ébriété. Pour causer savant à toute heure, et ne pas se contenter d’un triste et sec “je suis bourré(e)”, Bouillant(e)s vous propose une extension notable de votre vocabulaire de cuite(s).
Se cultiver au comptoir ? 10 ouvrages à lire cul sec
Un cul sur un tabouret n’est pas synonyme de cerveau à l’arrêt. Bien au contraire, généralement, y a la tête qui tourne et les idées avec. Après le “on boit quoi’, passons “et on lit quoi ?” Bouillant(e)s se prend le temps d’un verre pour Bernard Pivot ou Augustin Trapenard et vous délivre 10 conseils de lecture bien avinés. Pardon, bien avisés.